J’ai failli te manquer

jai-failli-te-manquer
2020

« J’ai failli te manquer », mon vingtième roman, sort début avril 2020 aux éditions Héloïse d’Ormesson. L’histoire vous emmène à Groix, Quiberon, Carnac, Paris et en Namibie.

Cerise et sa mère Lise ne s’entendent pas. A 17 ans, Cerise prend le train à Quiberon avec un couple qui connaît ses parents. L’homme trouve qu’elle ne ressemble pas à sa mère. Sa femme le prend à part et lui rappelle que Cerise est adoptée. Cerise l’entend et tombe des nues.

Le même jour son père Axel, cadet de la France Libre et historien, succombe à un infarctus. Après l’enterrement, Lise dit à sa fille « J’aurais préféré que tu meures toi plutôt que ton père ». Cerise répond poliment « J’aurais préféré que tu meures toi plutôt que papa ». C’est clair. Cerise mène l’enquête, découvre qu’elle est bien la fille de ses parents. Pourquoi sa mère a-t-elle menti ?

L’action se déroule sur 40 ans, à partir de la rencontre d’Axel et Lise. Après la mort du patriarche, mère et fille se repoussent comme des aimants réfractaires. Cerise espère que Lise se remariera avec un esquimau ou un guide himalayen, loin. Lise, grande dame courageuse qui a fait de la résistance, voulait un petit garçon mince et blond, pas une petite fille brune potelée.

Cerise tombe amoureuse d’Aelig, directeur d’un lodge dans le désert du Namib, demi-breton, sa mère est de Groix. Il a perdu sa femme, une anglaise qui lui a confié sa fille. Moro a 10 ans, son père est Himba, une ethnie de nomades qu’on appelle le peuple rouge, les femmes se teignent la peau et les cheveux avec de l’ocre. Cerise et Aelig recomposent une famille aimante pour Moro, à 8000 km de distance, et achètent une maison de pêcheur à l’île de Groix.

Quand Lise tombe malade à Paris et se prend pour un petit lapin sans perdre sa classe ni son panache, elle oublie qu’elle n’aimait pas Cerise. La tendresse s’engouffre enfin dans la brèche. Puis Lise meurt et un secret de famille remontant à la guerre change la donne.

Chacun voit les choses de son point de vue : Cerise, Lise, Axel, et la bague de fiançailles de Lise. Ce livre parle de mère et de fille, il dit qu’il n’est jamais trop tard pour s’aimer, et que la joie est réservée à tout le monde

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2020

« J’ai failli te manquer », mon vingtième roman, sort début avril 2020 aux éditions Héloïse d’Ormesson. L’histoire vous emmène à Groix, Quiberon, Carnac, Paris et en Namibie.

Cerise et sa mère Lise ne s’entendent pas. A 17 ans, Cerise prend le train à Quiberon avec un couple qui connaît ses parents. L’homme trouve qu’elle ne ressemble pas à sa mère. Sa femme le prend à part et lui rappelle que Cerise est adoptée. Cerise l’entend et tombe des nues.

Le même jour son père Axel, cadet de la France Libre et historien, succombe à un infarctus. Après l’enterrement, Lise dit à sa fille « J’aurais préféré que tu meures toi plutôt que ton père ». Cerise répond poliment « J’aurais préféré que tu meures toi plutôt que papa ». C’est clair. Cerise mène l’enquête, découvre qu’elle est bien la fille de ses parents. Pourquoi sa mère a-t-elle menti ?

L’action se déroule sur 40 ans, à partir de la rencontre d’Axel et Lise. Après la mort du patriarche, mère et fille se repoussent comme des aimants réfractaires. Cerise espère que Lise se remariera avec un esquimau ou un guide himalayen, loin. Lise, grande dame courageuse qui a fait de la résistance, voulait un petit garçon mince et blond, pas une petite fille brune potelée.

Cerise tombe amoureuse d’Aelig, directeur d’un lodge dans le désert du Namib, demi-breton, sa mère est de Groix. Il a perdu sa femme, une anglaise qui lui a confié sa fille. Moro a 10 ans, son père est Himba, une ethnie de nomades qu’on appelle le peuple rouge, les femmes se teignent la peau et les cheveux avec de l’ocre. Cerise et Aelig recomposent une famille aimante pour Moro, à 8000 km de distance, et achètent une maison de pêcheur à l’île de Groix.

Quand Lise tombe malade à Paris et se prend pour un petit lapin sans perdre sa classe ni son panache, elle oublie qu’elle n’aimait pas Cerise. La tendresse s’engouffre enfin dans la brèche. Puis Lise meurt et un secret de famille remontant à la guerre change la donne.

Chacun voit les choses de son point de vue : Cerise, Lise, Axel, et la bague de fiançailles de Lise. Ce livre parle de mère et de fille, il dit qu’il n’est jamais trop tard pour s’aimer, et que la joie est réservée à tout le monde